En plein cœur de l’île de Beauté, le port d’Ajaccio fait partie de ces lieux qui font rêver bien au-delà de la Méditerranée. Pourtant, en bordure du port de plaisance, le quartier des Cannes-Salines a longtemps été laissé pour compte. Les années 1970 et leur politique de grands ensembles ont engendré ces immeubles, sur des zones inondables, sans connaissance des risques, sans réflexion citoyenne. Depuis, les équipements et infrastructures se sont dégradés, les appartements sont devenus vétustes. Et les quelque 9 000 habitants des cités se sont trouvés isolés. Suffisamment pour que l’ANRU (Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine) considère le quartier comme prioritaire. De 2009 à 2020, ce ne sont pas moins de 30 chantiers et 135 M€ d’investissements qui réconcilient Ajaccio et son port. Le plus gros chantier consiste à protéger la zone des risques d’inondations comme elle en a connu en 2008. Intégré au PAPI (Plan d’Action et de Prévention des Inondations), le projet ANRU prévoit la création de deux bassins de rétention. Un confort espéré qui va de pair avec la requalification des espaces publics.

 

Les ouvrages hyrdauliques ont des sections qui évoluent tout au long du tracé de 200*100 jusqu’au 525*235 et les phasages des travaux sont rendus difficiles compte tenu des découvertes au moment du terrassement. Les hauteurs de remblais sont très faibles et il faut adapter la dimension des cadres tout en préservant la section hydraulique.

 

Coprem, par la modularité de ses installations, propose à Razel-Bec une très grande variété de  cadres en largeur, hauteur et longueur. Cette flexibilité associée à sa capacité de fabrication de 50ml/jour permet de maitriser ses coûts de fabrication et de garder en stock les produits pour répondre ponctuellement aux besoins d’approvisionnement du chantier. Coprem apporte également son assistance pour la manutention et la pose des cadres par l’intermédiaire d’un chariot manuscopique.